Visite de Conseillères générales à RDC-TCH

  • Danse traditionnelle du Tchad
  • Danse traditionnelle du Tchad
  • Danse traditionnelle de la République démocratique du Congo
  • Danse traditionnelle de la République démocratique du Congo
  • Danse traditionnelle du Kenya
  • Danse traditionnelle du Kenya
  • Danse traditionnelle de l'Ouganda
  • Danse traditionnelle de l'Ouganda
  • Le public heureux

Du 10 au 17 mars 2024, nous avions eu la joie d’accueillir au milieu de nous nos deux sœurs conseillères générales, Daphne Sequeira et Anne Corry. Au cour de l’assemblée, nous avions exhibé quelques pas des danses traditionnelles, accompagnées de présentation de culture de quatre pays : le Congo, le Tchad, le Kenya et l’Uganda.

La première danse que nous avons exécutée, intitulée "Jambo bwana", qui signifie littéralement "Bonjour Monsieur", est une chanson qui témoigne de l'hospitalité au Kenya.  Elle rappelle que lorsqu'on rencontre quelqu'un, même pour la première fois, il faut faire preuve de respect, de gentillesse et l'accueillir avec le sourire.   Le « shuka Maasaï » est une identité culturelle et un patrimoine de la communauté Maasaï au Kenya.  Les jeunes femmes, en particulier celles qui se préparent au mariage, portent des bijoux de perles sur le front, connus sous le nom d'"Esiteti », pour marquer leur transition vers la féminité et leur éligibilité au mariage. 

Quant à la culture de Buganda que nous avions exécutée la danse et les chants « Kantonda yebale » exprime la gratitude au Seigneur pour toute ses bienfaits. L’accoutrement de la femme Buganda est le « gomesi ». Il s’agit d’une robe longue colorée, ; principalement portée lors des cérémonies de mariage. Elle est connue sous le nom de Kwanjula. Toutes les femmes du côté du marié sont tenues de se vêtir de Gomesi.

Pour le Tchad, nous avions exhibé la danse intitulé « Ndo yéh cro ne way yoo », dont le chantre parle des familles polygames qui ne donnent pas la valeur à la première épouse au foyer. Cette danse était accompagnée de « Sougou waï » attaché au hanche, dont la femme Toupouri cache ses fesses en signe de respect aux hommes lors des cérémonies. L’instrument de la musique utilisé à cette occasion est appelé « Doundouloun », sous le claire de la lune les jeunes filles le jouent pour faire l’éloge de leurs copains. Et la pierre que nous avions eu à présenter pour écraser le mil, les femmes utilisent pour écraser le mil très tôt le matin dès le chant de Coq.

En fin, la culture de la R.D.C que nous avions exhibé avec un pagne sur la hanche, exprime la joie de la fête. Le chant qui a accompagné notre pas de danse a eu pour titre « SABINA » « l’amour fou ». Ce chant contiantise la femme à s’engager dans les travaux afin qu’elle soit utile dans la société. A travers ce chant, l’auteur parle aussi de l’amour fou qu’il a pour Sabine sa femme.

Nous avions choisi cette chanson premièrement parce que nous voudrons exprimer l’amour que nous avons pour Jésus et pour notre congrégation, mais aussi nous voulons manifester notre désir d’aspirer e à devenir des épouses de Jésus ; des femmes utiles et capables de révéler l’amour du Cœur de Jésus entre nous et au monde.

Nous remercions le Seigneur qui a rendu possible cette visite et les différentes rencontres que nous avions eu avec elles.

Novices Inter Afrique de la RDC-TCH / UGK